J'aimerais
qu'un piano libertaire
Rejoue
« Benoît Misère »
Les
14 juillets
-solitudine
, pas vrai ?-
rouge
et noir le bal des Bastilles
ce
jour de l'an 10.000
aux
cœurs démaquillés ;
c'est
pourquoi je n'oublierai jamais
tous
nos vieux rêves,
refrain
1:
tu disais qu'avec le
temps tout passe
les
amis aussi,
et
depuis pour nous tu vis par contumace
la
nuit
le
long des sentiers interdits.
Durutti
mourut à Madrid
La
plazza était vide
A
cinco de la muerte,
-la
F.A.I qu'es pas res , sabes !-
N'est
resté sur la barricade
Que
ton chant d'espérade
Hurlant
à l'amitié,
C'est
pourquoi je n'oublierai jamais
Notre
vieux rêve
Refrain
2 :
Tu
savais que l'Histoire est grimace,
Le
sourire aussi,
Et
depuis pour nous tu vis par contumace
La
nuit
Le
long des sentiers interdits
(pont)
reprise
1er refrain
Paroles
: JP Verdier Musique : P Descamps
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